La position de la cuillère est une position tendre, douce, souvent conseillée quand on a envie de faire l’amour le matin, ou pour les femmes enceintes. Ce qui ne veut pas dire qu’on ne peut pas la pimenter…
Facile, la position sexuelle de la cuillère n’est pas pour autant « pépère » ! On peut la pimenter, la raffiner afin de l’optimiser pour découvrir des plaisirs profonds tout en étant dans la douceur, la tendresse… avec un soupçon d’animalité (si on en a envie).
Définition : c’est quoi la postion de la cuillère ?
Tous deux allongés du même côté (dos à dos), l’homme se met derrière sa partenaire pour pénétrer son vagin.
Comment avoir du plaisir dans la position de la cuillère ?
Comme toutes positions sexuelles, pour avoir du plaisir, il faut se sentir à l’aise. Ensuite, c’est le bassin qui donne la cadence de la pénétration. A l’inverse de la position du Missionnaire ou de l’Andromaque qui désigne plus ou moins les rôles, la cuillère propose d’être à égalité. Chacun son tour, on peut bouger notre bassin. Un coup monsieur, un coup madame, qui pourra aussi en profiter pour écarter les jambes et sentir davantage les mouvements… pour ne plus avoir la sensation que dans cette position, on se contente simplement de faire l’étoile de mer… sur le flanc.
Comment obtenir une pénétration profonde en cuillère ?
Si on éloigne notre dos du torse de l’homme tout en se soulevant un peu, la pénétration devient plus profonde et de nouvelles sensations s’invitent. Voici donc une version de la cuillère à tester. L’homme peut également se soulever un peu, appuyé sur son coude, pour gérer à sa guise les allers-retours. On devient tous les deux plus… actifs. Non, la cuillère n’est pas la position des pantouflards dès lors que nos corps décollent du matelas !
Une position idéale pour faire l’amour le matin
La cuillère est la position idéale pour un réveil en douceur. Elle est érotique au possible, là où le soir elle peut être associée à un « petit corps à corps avant de ronfler ». L’homme surprend sa compagne par derrière et pas besoin d’une énergie fulgurante et de dix cafés pour rencontrer l’extase. On profite encore de la chaleur de la couette et on sent nos deux corps nus se lover l’un contre l’autre, sans se voir – il fait encore noir – et en laissant place à son imagination puis à l’envie de se retourner !
Source : Journal des femmes